1 janvier 2009
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Happy New Air ! C'est le titre du Télégraph. Jeu de mot, mais tellement vrai.
Ce matin tranquille.
Nous partons ensuite pour Kali Temple. Tellement bien décrit dans le routard ! Moche.
Vu de l'extérieur, le temple est moche. Vu de l'intérieur, le temple est moche. Il est grossièrement décoré de ciment gris et de faïence à quatre sous. Ce lieu est hautement touristique. Il correspond au Lourdes de chez nous. Il y a des pseudo-guides partout qui harponnent les pèlerins sans arrêt, on n'y échappe pas non plus. Les indiens viennnent en masse vénérer Kali.
Dans la rue des barrières, des policiers armes à la main, des boutiques partout vendant des Ganesh en plastique, des Shiva en plastique et bien sûr des Kali en plastique bleu.
Pour entrée dans la salle des prières, il y a une queue d'au moins 300 personnes. C'est sale pour un lieu sacré. Au bout d'une heure, on a avancé d'un mètre, peut-être deux. Marche arrière, on rentre.
On s'arrête à l'académie des Fine Arts sur Cathedral Road. De belles expos de peintures et sculptures, nous font oublier les Ganesh en plastique.
Ce matin tranquille.
Nous partons ensuite pour Kali Temple. Tellement bien décrit dans le routard ! Moche.
Vu de l'extérieur, le temple est moche. Vu de l'intérieur, le temple est moche. Il est grossièrement décoré de ciment gris et de faïence à quatre sous. Ce lieu est hautement touristique. Il correspond au Lourdes de chez nous. Il y a des pseudo-guides partout qui harponnent les pèlerins sans arrêt, on n'y échappe pas non plus. Les indiens viennnent en masse vénérer Kali.
Dans la rue des barrières, des policiers armes à la main, des boutiques partout vendant des Ganesh en plastique, des Shiva en plastique et bien sûr des Kali en plastique bleu.
Pour entrée dans la salle des prières, il y a une queue d'au moins 300 personnes. C'est sale pour un lieu sacré. Au bout d'une heure, on a avancé d'un mètre, peut-être deux. Marche arrière, on rentre.
On s'arrête à l'académie des Fine Arts sur Cathedral Road. De belles expos de peintures et sculptures, nous font oublier les Ganesh en plastique.